Guitariste de formation, compositeur et improvisateur, Pascal Charrier a débuté à l’IMFP de Salon de Provence, puis a étudié auprès d’Alain Soler à l’atelier de musiques improvisées ainsi qu’au centre des musiques de Didier Lockwood. Il explore dans ses compositions des formes au son très acoustique faisant référence à un son traditionnel du Jazz, et d’autres mettant en jeu de l’électronique et le traitement de signal sonore. Il joue des guitares électriques et acoustiques à 6 cordes. Il est le créateur et le directeur artistique de Naï No Production, compagnie musicale, basée en Région Sud Provence-Alpes-Côte d’Azur depuis 2011 et soutenue par la DRAC, la Région Sud, le Conseil Départemental du Vaucluse et la Ville d’Apt.
Il mène des projets de médiation culturelle à travers plusieurs actions à vocation pédagogique. Initié en 2017, « L’Arbre » est un orchestre de création musicale ouvert aux instrumentistes de tout âge et de tout niveau. Lors de ces ateliers à travers le Vaucluse, l’improvisation et la composition y sont pratiquées collectivement et en temps réel.
En co-production avec MCE Productions / L’éolienne (Marseille, 13), et avec le soutien du Ministère de la Culture – DRAC PACA dans le cadre du Plan de relance.
Soutien : L’Espace Culturel de Chaillol, scène conventionnée Art en territoire – Pays gapençais (Saint-Michel-de Chaillol, 05) | Dispositif « Artistes en Présence » 2020
« Petite Montagne », Solo guitare folk voix
La musique de Petite Montagne se nourrit d’un imaginaire de chants de bergers perdus, naviguant
dans les airs sur les hauteurs d’une petite montagne du sud de l’Europe. Elle peut, par la présence d’un bourdon, évoquer les musiques méditerranéennes et indiennes ou se rapprocher d’un blues archaïque. Pascal Charrier utilise une guitare folk à l’accordage modifié, qui met en valeur le timbre naturel et les résonances de l’instrument. Les réflexes harmoniques sont perturbés, laissant une grande place à un jeu mémoriel, un rapport primitif au son.
La musique de Petite Montagne se nourrit d’un imaginaire de chants de bergers perdus, naviguant
dans les airs sur les hauteurs d’une petite montagne du sud de l’Europe. Elle peut, par la présence d’un bourdon, évoquer les musiques méditerranéennes et indiennes ou se rapprocher d’un blues archaïque. Pascal Charrier utilise une guitare folk à l’accordage modifié, qui met en valeur le timbre naturel et les résonances de l’instrument. Les réflexes harmoniques sont perturbés, laissant une grande place à un jeu mémoriel, un rapport primitif au son.